Dans mon corps déformée,
Se cache une femme fée,
Une maladie inique,
Me lacère le cœur,
Douleurs typique,
Mal vainqueur.
Je ne peux le cacher,
Il ne peut m’oublier.
Le martyre du corps,
La trahison de l’âme.
Un avenir mort,
Celui d’être une femme.
Suis un ballon éclatée,
Gisant sur le cotée.
Rêvant de légèreté,
Immobile destinée.
Dans cette immense cage,
Qui me sert de tombeau,
Je cache mes oripeaux,
Derrière des ombrages.
Car leurs regards m’effraient,
Je me cache en effet.
Perdue dans mon reflet.
Évanouie pour de vraie,
L’image que j’aurais,
Si ma maladie n’existait.
K.
Magnifique et si touchant poème qui cache tant de douleur pudique.
De tout cœur avec vous.
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le poid criant de la maladie..un contrôle par les beaux mots.. courage sincère à vous
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j adore trop beau j’ai les frissons
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